Pourtant, vous est-il déjà arrivé quand votre bébé pleure, hurle, crise de colère et que vous ne savez pas pourquoi, que vous êtes épuisé par les courtes nuits, de perdre patience ?

De ressentir de l’agacement, de l’énervement, de l’inquiétude ou de la colère envers votre bébé ?

De culpabiliser pour ressentir cela ? De vous en vouloir ?

De vous sentir démuni ? De ne pas savoir quoi faire ?

A l’arrivée de ma première fille, j’étais exactement dans votre situation.

J’avais 27 ans, éloignée de la famille, pas d’amis déjà parents. Sans trop de repères éducatifs. Je savais ce que je ne voulais pas reproduire mais pas ce que je voulais apporter.

Avec son papa, nous nous sentions souvent démunis, frustrés de ne pas comprendre notre enfant.

On voyait bien qu’elle avait des choses à nous dire ! Mais ces incompréhensions nous frustraient énormément, tout autant que notre fille.

Les nuits étaient courtes, le boulot associé. J’avais de moins en moins d’énergie, de patience, et je vivais très mal les pleurs de ma fille. Je me sentais stressée.

Et pourtant, je suivais scrupuleusement les conseils des professionnels de la petite enfance : du pédiatre de l’assistante maternelle.

Le problème c’est que ma fille n’avait pas les moyens de s’exprimer autrement que par les pleurs, les cris, les colères.

Pour en être sure, j’ai alors demandé à un collègue sourd, formateur langue des signes, qui avec sa femme entendante avait 2 enfants entendants, s’ils avaient parlé et signé avec eux lorsqu’ils étaient bébé : OUI

Est-ce que les signes sont arrivés avant la parole ? La réponse fut OUI, les signes sont venus avant les mots !

Il venait confirmer le fondement de cette méthode :

les bébés savent imiter les gestes avant de savoir parler et peuvent utiliser des signes précocement pour communiquer.

J’ai de suite mis en pratique cette méthode avec ma fille. Ma chance était que je connaissais déjà la langue des signes puisque j’avais suivi une formation intensive à Toulouse en 2005.

Je n’avais rien à perdre ; mon entourage trouvait ça un peu bizarre, incongru.

Mais ce n’est pas que nous : aux Etats-Unis, d’où nous vient cette méthode, un tiers des parents l’utilise et 60% des crèches en 2016

(selon baby sign language , un des deux centres de formation, cf article du Monde ci-dessous)

Cette méthode a beaucoup d’avantages :

Au début, le bébé exprime ses besoins ; c’est super !

Et ensuite il peut exprimer ses émotions ! Dire j’ai peur, je suis en colère, tu es en colère ? C’est INCROYABLE !

Cette méthode a créé beaucoup de complicité avec nos enfants et aussi entre eux, et nous nous sommes sentis beaucoup plus confiant dans notre rôle de parent.

Aujourd’hui, je suis une fervente convaincue des bénéfices de cette méthode et j’ai décidé de la promouvoir.

Et pour ceux qui aiment le papier, ces signes sont aussi en photo dans un fascicule téléchargeable.

Enfin, pour amener du concret et étayer la théorie, je me suis filmée moi et ma dernière fille lors d’échanges signés dans le quotidien pour vous donner des exemples réels en vidéo.

Elle avait alors de 6 mois à 18 mois, pour vous témoigner de l’évolution dans la pratique concrètement.

Dans la formation, il y a 15 vidéos d’exemples.

Ça m’a pris 1 an de travail, de développement, de recherche, de montage, de création.

En un clic, vous allez pouvoir bénéficier de la formation avec mon expérience personnelle.

Mais avant que je vous parle de mon offre, laissez-moi vous poser une question

Est-ce que ça vous dirait de vivre une relation plus harmonieuse, plus apaisée avec votre bébé ?

En lui amenant les moyens de mieux communiquer avec vous ?

Est-ce que ça vous dirait de voir la joie s’illuminer sur son visage quand il verra que vous l’aurez compris ?